Presse

« Le titre du troisième album du duo, composé de Laurence Olivier et Vincent Aubague, est une référence au film de Fritz Lang, toujours d’une actualité criante dans la description visionnaire qu’il faisait alors de notre monde actuel. L’album s’empare des codes du cinéaste pour mettre des mots et une musique sur les disparités d’un monde écartelé entre peuple du bas luttant pour sa survie, comme sur “Waiting line” que Laurence ouvre en épelant une à une les lettres de refugee, et peuple du haut installé dans son confort et ses certitudes. Les morceaux s’inscrivent dans un registre oscillant entre le trip hop de Massive Attack et Morcheeba, la sophist-pop d’Evrything but the Girl, 10 pistes pour ouvir les yeux et se remplir de sons délectables. »

Longueur d’Ondes 02/2020


« Daffodil a envoûté le public… Atmosphère intimiste et notes épurées. Laurence Olivier a emporté le public dans un univers emprunt de pureté et de poésie. Un voyage musical autour de la poétesse américaine Emily Dickinson particulièrement réussi. Entre instrumentation acoustique et électronique minimaliste, la voix claire comme du cristal de l'artiste a résonné au plus profond de chacun des spectateurs. »

Nice Matin mars.15


« The Missive revient avec un nouvel album : oscillant entre folk et trip hop, le duo confirme son talent. L’émotion est toujours présente, mais le groupe ouvre son champs des possibles : tantôt proche de The knife, tantôt plus aérien comme la Sinead O’ Connor des débuts. Avec Go between, The Missive pourrait bien devenir une référence en matière de néo – trip – hop : un alliage de sensualité et de compositions organiques… »

Openmag


« Très belle Laurence Olivier. Véritable perle trip hop jazz…. Un concert tout en douceur que celui de Laurence Olivier samedi soir à La Luciole, la musique de la belle chanteuse laisse entrevoir un passé nourri de voyages et de rencontres. Sa voix aérienne, judicieusement portée par les notes du guitariste Vincent Aubague, est allée au plus profond de l’âme du public pour n’en sortir que longtemps après le concert. Un concert tout en finesse qui laisse une envie d’en entendre plus… »

OUEST France


« Un univers musical qui mêle folk, trip hop et électro-jazz tout en finesse et en poésie… »

L'Union juillet.09


« la musique se marie à merveille aux magnifiques textes en anglais…Une belle artiste qu'il est urgent de découvrir… »

Ouest France juin.08


« Trip hop et voix feminines : Laurence Olivier tire le genre vers le jazz »

Telerama sortir aout.07


« Cette Missive possède une beauté atemporelle qui pourrait bine devenir une référence au même titre que les premiers albums de Massive Attack ou Portishead. La richesse stylistique paraît encore plus large puisque se combinent la rythmique électro-jazz de Philippe Garcia et Daniel Yvinec, les guitares planantes de Vincent Aubague…et la voix pop de Laurence Olivier. »

Citizen jazz mars.07


« Très bel album que celui de Laurence Olivier, chanteuse jazzy aux résonances électro. On a plaisir à savourer cet album très personnel. On s'aperçoit très vite que la chanteuse n'est pas étrangère à l'univers cinématographique et théâtral où elle a d'ailleurs fait ses premières armes de compositeur. L'atmosphère très scénarisée de l'album construit en tableaux en témoigne. Un opus abouti, riche et inspiré où l'on vogue entre jazz, trip hop et folk. Les compositions dont les refrains vous transportent langoureusement, mettent parfaitement en valeur la voix chaude et rassurante de Laurence Olivier. Un album doux et apaisant à se procurer d'urgence. »

Le Télégramme fev.07


« La grâce de Laurence Olivier Souvenez-vous bien ce nom accrocheur car si elle n'a pas encore la renommée d'une Camille, d'une Keren Ann…, la belle n'a rien à envier à la nouvelle scène française féminine. Le talent est là, l'émotion aussi… Un must à découvrir absolument »

Openmag oct.06


« Ce départ façon trip hop de « you can't tell », digne de Morcheeba, risque de s'inscrire dans les mémoires. Les guitares de Vincent Aubague se mêlent avec plaisir aux sons électroniques, afin d'accompagner la pureté de la voix… »

thefrenchtouch oct.06


« Un opus concis, varié, bien structuré et fort mélodieux…, un timbre vocal aérien très agréable, d'une sensibilité, d'une délicatesse et d'une douceur sans équivoque… qui n'est pas sans rappeler Kate Bush…, ou de par sa tessiture et son phrasé très américains Tori Amos ou Alanis Morissette, …bravo à la dextérité du guitariste Vincent Aubague co-écrivain et réalisateur de ses œuvres…, un enregistrement élégant , inspiré et vagabond, l'album de Laurence Olivier cache derrière sa légèreté affichée des trésors sonores insoupçonnés. »

Sortiz oct.06


« Une inspiration créatrice particulière et émouvante…une émotion musicale qui approche en sensualité Tori Amos… »

P-Michel Meier Music@ (magazine musical suisse) nov.07


« Poésie en musique…
Il y a des artistes qui ont la capacité d'intégrer dans leur musique des éléments sonores variés, des passions intimes et différentes influences culturelles, donnant vie à des productions originales et captivantes.
C'est le cas de Laurence Olivier, qui a su rassembler et personnaliser l'éclectisme d'influences diverses proches de Laurie Anderson ou Tori Amos…qui exprime une ferveur créatrice non seulement dans le domaine musical et discographique, mais aussi dans d'autres champs artistiques, du théâtre en passant par les arts du cirque, le court métrage et la danse…
Un nouvel album dans lequel la pop rock cinématographique s'imbrique dans l'électro-jazz. »

Jazz Mag. Italie Revue jui.07


« Laurence Olivier dont la musique puise dans le jazz et l'électro, n'a pas fini de surprendre le public…

Chronique Concert, Rouen Magazine mai 2007


« Une très belle voix et un univers musical qui mêle groove, et instrumentation acoustique, atmosphères rêveuses et ambiances plus urbaines. Un disque promis a beau succès… »

Jazz Yell Japon nov.06



 

 

 

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